Var

Patrice DUPIEUX est notre Relais départemental Résistons! dans le Var.
Vous pouvez contactez notre relais départemental directement par e-mail  à l’adresse suivante : relais83@resistons-france.fr

Avant de me présenter, il me paraissait important de mettre en lumière les origines de notre soumission politique et les moyens à mettre en oeuvre pour en sortir, afin que nul ne puisse dire de nous: « Avoir tant su et avoir si peu fait ».

La résistance est inscrite dans nos gènes, nous sommes des résistants par nature. Notre premier acte de résistance est celui qui nous maintient en vie lorsque nous arrivons au monde.

Nous survivons, parce que nous résistons dès le début de notre vie, à la mort physique, par l’immersion dans le monde.

Nous survivons, parce que nous résistons tout au long de notre vie à la mort identitaire et sociale, par opposition à l’univers normatif qui s’impose à nous et qui oblitère notre puissance d’être en devenir.

Nous ne devons jamais nous abandonner aux forces en présence qui n’ont de cesse, que de nous manipuler, pour mieux nous contrôler.

Hannah ARENDT dans « Question sur le totalitarisme » en 1977, nous invitait à réfléchir sur cet état de fait :

« Quand les dominants mentent en permanence, le résultat n’est pas que vous croyiez les mensonges, mais que plus personne ne croit en rien. Un peuple qui ne croit en rien est un peuple
qui ne peut se faire d’opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Avec un tel peuple, vous pouvez faire ce qu’il vous plaît »

C’est donc dans le vide de la pensée que s’insinue le mal et lorsque vous en prenez conscience, il est déjà depuis longtemps à l’oeuvre.

Proche de nous, deux grands mouvements de résistance se sont incarnés :

En premier, dans les gilets jaunes, un élan populaire regroupant toutes les sensibilités et toutes les origines sociales, vent debout contre l’augmentation des prix et la baisse du pouvoir d’achat.

Un mouvement sauvagement réprimé, pour finir discrédité après avoir été infiltré.

Puis en suivant, dans les opposants à la tyrannie sanitaire de la période COVID, contre l’obligation de subir une injection expérimentale d’ARN modifié , aux effets secondaires dévastateurs.

Un mouvement de nouveau discrédité, après avoir été taxé de complotiste et d’irresponsable.

Dans les deux cas, la parole a été étouffée, mais bien mal avisé celui qui pense qu’elle le sera à jamais, les ferments qui l’ont fait naître sont toujours actifs.

La première question que l’on doit se poser : C’est pourquoi avons nous laisser s’installer un système généralisé de désinformation et de surveillance, aux mains de nos censeurs ?

Parce que chacun d’entre-nous s’est laissé envahir par la peur, distillée par ces mêmes censeurs et relayée par les médias de la pensée unique et triomphante, à seule fin qu’ils nous maintiennent en état de dépendance, pour mieux nous convaincre, qu’ils savent mieux que nous, ce qui est bon pour nous.

Parce que nous avons cesser d’être curieux, de vérifier l’information et de la recouper auprès de toutes les sources dont nous disposons, même si la plupart font l’objet d’une censure systématique.

Parce qu’il est plus rassurant de penser comme le plus grand nombre, plus confortable de se laisser guider.
Cette capacité à analyser et à discerner le vrai du faux, est notre planche de salut, une gageure lorsque que l’on sait que l’instruction n’a pas pour vocation de faire des têtes bien faîtes, mais
des têtes bien pleines…

Louise MICHEL

« La tâche des instituteurs, ces obscurs soldats de la civilisation, est de donner au peuple les moyens intellectuels de se révolter contre les injustices. »

En niant la réalité et en adhérant à la pensée unique, nous ne faisons que retarder l’avènement d’un monde déshumanisé et sous contrôle qui n’épargnera personne, hormis ses créateurs et leurs vassaux.

 

Albert EINSTEIN

« Le monde est dangereux à vivre, non pas seulement pour le mal que font certains, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire »

 

Félicité de la MENNAIS

« Ne soyez pas comme les moutons, qui lorsque le loup a enlevé l’un d’eux, s’effraient un temps et puis se remettent à paître ».

 

La seconde question que l’on doit se poser est : Pouvons-nous encore attendre plus longtemps avant de s’engager ?

Comme dit plus haut, c’est une question de survie, nous devons nous engager pour faire que la justice soit à l’oeuvre et éviter de sombrer dans un monde dystopique.

S’engager c’est assumer et justifier des choix, quelques puissent être les conséquences, c’est refuser de subir, c’est d’agir en faveur d’une juste cause, c’est enfin influer sur le cours des choses.

Auguste BLANQUI, pensait que le peuple n’avait pas à mendier un monde meilleur aux exploiteurs, mais qu’il ne devait avoir de cesse que de l’édifier.

Notre soumission politique nous condamne à disserter indéfiniment sur le sexe des anges…

Ayons toujours à l’esprit que le DROIT DE RÉSISTANCE A L’OPPRESSION, figure à l’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, lequel a été repris plus explicitement et plus radicalement dans l’article 35 de la Constitution de 1793.

« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus imprescriptibles des devoirs ».

Dans cette perspective, s’engager dans quel mouvement et avec quel représentant ?

RESISTONS ! Présente pour moi et pour beaucoup, toutes les garanties d’un mouvement rassembleur, décidé à restaurer la morale et l’éthique en politique, en jetant les bases d’un nouveau contrôle citoyen.

Enfin quel plus digne représentant pour incarner ce mouvement de résistance, si ce n’est Jean LASSALLE, qui a la stature d’un vrai Chef d’Etat, incorruptible et ayant une haute idée de la France, de son indépendance et surtout du peuple qui l’anime, comme l’était le Général de Gaulle, dont beaucoup trop d’imposteurs européistes se réclament.

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE, pour jeter les bases d’un nouveau modèle social, digne du programme politique du Conseil National de la Résistance.

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE, pour restaurer la souveraineté populaire, préalable à la souveraineté nationale.

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE, pour laisser s’exprimer l’intelligence collective et lui permettre d’écrire les nouvelles règles de la représentation (ex : RIC), pour éviter au pouvoir de s’affranchir des contrôles et à terme de devenir autonome.

Toutes les constitutions font l’éloge des droits de l’Homme et du Citoyens dans les premiers articles et les enferment rapidement dans les suivants.

Etienne CHOUARD

Sans le RIC, nous sommes condamnés à rester engluer dans des débats stériles, puisque nous ne décidons de rien, étant empêchés politiquement.

 

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE pour nous émanciper de la tutelle Européenne et donc étasuniennes, qui nous imposent ses directives et qui subséquemment font de nos élus des irresponsables.

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE pour restaurer la puissance publique et ainsi empêcher la lente destruction de ses services.

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE, pour enrayer cette course folle vers un monde unipolaire et déshumanisé cf ( intelligence artificielle).

Qui de plus impliqué et de plus authentique que Jean LASSALLE, pour restaurer l’indépendance des médias et la libérée de la tutelle des riches influenceurs qui les détiennent.

J’appelle donc tous les citoyens décidés à rompre avec un système qui divise en jouant sur les peurs, à rejoindre et à soutenir Jean LASSALLE, pour qu’ensemble nous bâtissions un monde où les fruits du travail conduiront à la prospérité de chacun et où la puissance politique sera laissée en partage.


Patrice DUPIEUX

Je suis marié, j’ai deux enfants, je suis domicilié à TOURVES (83) et je suis originaire de BOURGES (18).
Je suis retraité de la Police Nationale, j’ai effectué pratiquement toute ma carrière en Brigade de recherches et d’intervention à MARSEILLE et à MONTPELLIER et j’ai fini au grade de commandant.
En suivant j’ai créé une société de Sécurité/Sûreté et une société de protection physiques des personnes, dans lesquelles je ne suis plus actif.
Enfin, déchargé de toutes fonctions et compte-tenu de l’urgence, j’ai décidé pour la première fois de m’engager dans un mouvement politique.