« Originaire de Franche-Comté, ma région de toujours et à laquelle je suis fortement attaché, mes premiers intérêts pour la politique nationale furent dès la fin du collège et le début du lycée, en particulier lors de l’année 2015 et ses doubles élections départementales/régionales.
Comme un certain nombre de personnes, j’ai découvert Jean Lassalle lors des présidentielles de 2017, et après m’être penché sur le personnage et ses idées j’ai de suite ressenti un socle de valeurs communes. Décentralisation, régionalisme, ruralisme, territorialisme, services publics, amour de la France, … Autant de notions qui n’ont fait que se confirmer avec la crise des Gilets Jaunes d’où le Jura fut l’un des premiers points de départ.
En une période trouble où la division, l’opposition virulente et les fractures diverses ne font que se confirmer jour après jour, un pays qui se noie doucement dans la violence, tant sur le plan national que local, je perçois en Jean Lassalle et en Résistons! le combat pour une nation apaisée, dans laquelle « l’Homme retrouve l’Homme » avec le retour d’un débat serein et éclairé. N’oublions pas ce berceau qu’est la France, celui de la philosophie des Lumières. Retrouver une France pleine, c’est à dire renouer le lien indéfectible entre Paris et la « Province », entre les Forces de l’Ordre et la population, entre l’État et le Peuple français, … L’épisode douloureux du coronavirus doit être plus que jamais un tremplin pour retrouver un socle commun et réaffirmer la spécificité française.
Ayant accompagné Jean Lassalle et la délégation Résistons! avec Benoît Labourier, relais départemental pour le Jura, lors du dernier Salon International de l’Agriculture en février, j’ai découvert une formidable équipe venue de toute la France, humaine et généreuse, défendant avec conviction un projet plus que jamais d’actualité.
J’appelle celles et ceux, jeunes et moins jeunes, qui douteraient d’un engagement, à franchir le pas définitivement pour défendre et propager une vision sereine et humaine de la France.
Résistons! »
Quentin Fumey, 21 ans, militant du Jura
Étudiant en Histoire à l’Université de Besançon
