C’était il y a trois, un samedi, le mouvement des Gilets jaunes faisait son apparition dans les ronds-points puis dans toutes les villes de France. Ils ont crié leur colère et le sentiment d’abandon. Les problèmes du quotidien, des fins de mois qui commencent de plus en plus le premier jour. Aucune sécurité financière, emploi précaire ou inexistant…
Ce mouvement révolutionnaire et inédit a évolué mais il ne s’est jamais éteint, malgré le COVID, malgré les divisions malignement exploitées par le Gouvernement.
Le mercredi 21 novembre 2018, lors des Questions au gouvernement, j’avais exprimé mon soutien en portant un #GiletJaune à l’Assemblée nationale.
Un soutien à leurs inquiétudes et à leur colère compréhensible.
Un soutien à ce mouvement révolutionnaire et citoyen.
Un soutien à leurs revendications légitimes.
J’ai longuement échangé avec des leaders des #Giletsjaunes, et d’autres manifestants. Je me suis engagé à respecter leur volonté d’indépendance politique, tout en portant des propositions qui leur sont chères. Parmi elles, j’ai déposé deux propositions de lois, l’une pour la reconnaissance effective du #voteblanc et l’autre pour l’instauration du #RIC. D’autres mesures de mon projet visent également à refonder nos institutions et à susciter l’engagement citoyen.
Aujourd’hui, le prix du carburant est plus élevé qu’au début du mouvement des Gilets jaunes. Qu’a proposé l’Etat face à cette hausse vertigineuse ? Un chèque de 100 euros, des petites miettes insuffisantes et non-ciblées. Nous devons immédiatement mettre en place des mesures plus efficaces et durables. Parmi elles :
Baisse de la TAV sur les carburants de 20 % à 5,5 %, associée à une aide « carburant » pour les Français les plus modestes
Blocage des prix du carburant, une mesure qui aurait dû être prise avant la flambée des prix
Taxation exceptionnelle sur les profits pétroliers, redistribuée dans l’intérêt général des consommateurs #jeanlassalleRésistons!
